Un dimanche matin vers 6h ils firent des préparatifs pour partir en montagne. Dans leur sac ils ont quatre bouquins et deux paires d'haltère. Olemas pris son épée et ils prirent les sentier montagneux à bonne allure c'est-à-dire en courant.

Après 1h de course tranquille dans les montagnes (ils font environ du 30km/h), ils tombèrent sur une cascade ridicule (oui, l'eau ne faisais même pas 5cm de large) devant une grotte qui paressais convenir a leurs exigences (et oui c'est ça le plus dur).

Olemas : "Bon je récupère mes haltère et tu prens tes vieux grimoires comme tu les appels."

Et ce fut le moment où il commencèrent...

Oui, on les entendait au minimum à 1km... De vrais bourrins, Olemas lever les quatre haltères et son épée a deux mains et commencer à trancher des roches de granit en deux (40 kg un haltère et 10kg l'épée donc (40x4)+10= 170kg à une main) on remarqué heureusement quelque difficulté a olemas pour lever son arme au-dessus de son épaule malgré sa rapidité foudroyante. Guilmar quant à lui a commencé à lire ou récité des pages à une vitesse hallucinante. Toutes les flammes qui émanais de lui partais dans tous les demi-rocher coupé par olemas. Bref vaut mieux pas s'approcher c'est assez flippant.

Après 6h d'entrainement acharné, ils prirent une pause enfin je crois Olemas se mit sous la chute d'eau et Guilmar prit un bouquin sur de l'immunologie. Puis cinq minutes Olemas fit des séries de pompe pendant que Guilmar lisais. Entre chaque pompe Olemas claqué ses mains enfin quand il n'avait pas à tourner la page pour Guilmar soudain quelqu'un approcha...

Je ne savais pas pourquoi mais j'avais besoin d'air frais. Je sortis donc de ma chambre en me demandant où je pourrais bien aller. J'avais un peu faim, pourquoi ne pas profiter de sortir se relaxer pour aller chasser un peu ?
Mais là encore je ne savais pas de quel coté aller. Je sortis de l'internat et regardais les panneaux directionnels, La ville ? Non trop de monde. La foret ? Je la connaissais par cœur et cela me lassais un peu. Je n'avais encore jamais été au port mais il n'y avait pas grand chose... Peut être la montagne ? Pas sure que je rencontre quelque chose pour me nourrir mais au moins niveau air pur je serais servie.
Je marchais donc en direction de la montagne, plutôt heureuse de ma sortie.
Je repensais à la dernière fois que j'étais à la montagne, je faisais de la luge, malheureusement à cette saison de l'année il n'y avait aucune neige, Mais la montagne l'été c'était chouette aussi. On pouvait admirer la beauté des paysages, Les magnifiques couleurs des fleurs qui ne sont présentes que dans les vallées de montagnes, et les animaux...
Je m’arrêta quelques secondes pour analyser ce qui me semblait être une sorte de bouquetin. Je m'approcha doucement, en chasse, mes yeux s’enivrèrent de rouge et je sentis l’adrénaline et l'excitation envahir peu à peu mon corps.
J'étais à même pas 5 mètres de l'objet de mon désir qu'un bruit sourd la fit fuir. Je n'avais pas envie de lui courir après, je la laissais donc partir mais j'étais assez énervée d'avoir perdu mon met. Je chercha donc un autre animal qui pourrait assouvir ma soif, mais ce bruit chiant revint encore. Ce qui m’énerva encore plus. Je marchais vers ce bruit de fer sur la pierre. Tout d'un coup ce bruit s’arrêta mais je décidais de continuer à suivre la piste sur laquelle j'étais.
Je me sentais comme perdue. J'humais profondément, j'étais sur la piste d'une personne, ou deux? C'était comme si je sentais deux odeurs mais pas si différentes l'une de l'autre. Je suivis donc cette odeur et atterris près d'une grotte. J'y entrais et me retrouva près d'un homme qui faisait des pompes et lisait en même temps. Toujours énervée depuis tout à l'heure, je pense que mes yeux n'étaient toujours pas revenus à leur couleur normale.

- Hey ! C'est toi qui fais tant de bruit ?!

j'entendis une voie de fille m'interpeler :
- Hey ! C'est toi qui fais tant de bruit ?!

Olemas un peu agacé dit :
Ouai et alors ?

je repris la parole avec une voie plus douce :

C'est nous, excuse Olemas il est un peu comment dire soupe au lait aujourd'hui. Moi c'est Guilmar es tu es?

tous en me levant je lui tendis la main et lui fit un grand sourire

J'entendis alors une voix un peu sèche me repondre :

- Ouai et alors ?

J'étais un peu perplexe, je ne savais pas si la personne se trouvant face à moi l'avait dit ou pensé...
Mais à peine quelques secondes plus tard le garcon me repondit d'une voix plus douce

-C'est nous, excuse Olemas il est un peu comment dire soupe au lait aujourd'hui. Moi c'est Guilmar es tu es?

Il me tendit la main, je lui rendis son geste par instinct, mais je ne lui répondit pas tout de suite, le temps de comprendre ce qu'il se passait.
Récapitulons, il y a en face de moi deux personnes en unes , cela me rapellait quelqu'un, mais ces deux là parlaient tout les deux. Je n'avais jamais vu ca, soit ils étaient d'une race inconnue pour moi, soit il est schizophrène pensais-je intérieurement en riant.

Je répondis tout de même à sa question même si je ne comprenais pas très bien ce qu'il avait voulu dire avant.

- Moi c'est Yukino, désolé mais vous faites un bruit atroces! Même un humai..., Enfin tout le monde vous entend bafouillais-je.

Je n'allais quand même pas lui dire que j'étais en pleine chasse, de quoi aurais-je l'air après?