Description physique : Démyx a les cheveux noirs de jais coiffés en bataille, il est grand de taille, musclé mais pas trop, ses yeux sont de couleur bleu glace, son nez est petit et bien formé, ses lèvres sont charnues et pulpeuses, ses oreilles sont petites taillées légèrement en pointe cachées le plus souvent par ses cheveux. Il lui arrive d’avoir une petite barbe de trois jours lorsqu’il a la flemme de se raser. Ses tenues vestimentaire sont plutôt simple, un tee-shirt et un short lui suffise amplement, mais pour les grandes occasions il sait se mettre sur son trente et un et pourrait faire plus d’un jaloux.
Signes particuliers : Suite à sa chute et au pacte de sa sœur avec le démon il a un pentacle : une étoile a cinq branches violettes inscrit dans un cercle parfaitement circulaire, placer dans son œil gauche, ainsi qu’une petite cicatrice sur l’arcade sourcilière. Description morale : Démyx est un garçon bon vivant toujours le sourire aux lèvres, un peu tête en l’air, très protecteur envers sa sœur, il est assez timide envers les gens qu’il ne connaît pas. Depuis sa chute du haut de la falaise Démyx a développé une très grande phobie de l’eau si bien que lorsqu’il voit une étendue d’eau ou que quelqu’un le mouille il peut se mettre à hurler voir devenir violent. Malgré tout il essaye de se maîtriser. Il déteste par-dessus tout Weeka le démon qui habite sa sœur, et tout deux ce querellent souvent, Démyx a jurer qu’il libérera sa sœur du démon et lui rendrait sa vie, sa liberté.
Valeurs primordiales : Toujours protéger les plus faibles
Plus grand rêve : Devenir écrivains, et vivre une grande aventure.
Plus grande honte/peur : L’eau et les reptiles Biographie : Je tourne la clef dans la serrure et rentre dans ma nouvelle chambre. Le mobilier est très simple: un lit, une grande armoire, un petit bureau et un grand miroir orné de motifs complexes, posé face à la porte. Mon corps tout entier est reflété dans cette surface de verre qui me rejette en pleine face, telle une claque, ce pourquoi je suis ici....
Mon nom est Démyx, j'ai 16ans et j'habitais, avant le drame, en Angleterre avec ma grande sœur Méggna, chez notre tante richissime qui nous avait recueillit moi et mon ainée à la mort de nos parents, décédés dans un accident de voiture il y a longtemps déjà.
Petit, des choses bizarres m'arrivait. Une fois en primaire, alors que j'étais en colère, une bonbonne d'eau a éclaté sur ma sœur, qui la tenait entre ses mains, sans explications. Une autre fois alors que je jouais dans une rivière, le courant trop fort, qui risquait de m'emporter, s'est affaibli, comme par enchantement, alors que mes mains tremblaient sous la peur. Ma sœur était persuadée que j'avais un don, pour moi il s'agissait juste d'un concours de circonstance.
Mais je m'éloigne. Revenons à ce jour tragique :
Moi et ma sœur marchions sur les bords des falaises, entourant la somptueuse demeure de ma tante, quand ma sœur m'a poussé, en rigolant, je ripostais et nous chahutions, une nouvelle fois dans l'herbe. Mais cette fois là ne fut pas comme les autres. Sans nous en rendre compte nous nous sommes rapprochés dangereusement d’un précipice. Je me souviens encore des vagues se fracassant contre les rochers en contrebas. Plus fort et plus musclé que Méggna j'ai pris le dessus. J'ai alors dérapé sur l'herbe humide, ma sœur me repoussa pour se dégager. Derrière moi, rien. Le vide, ce vide terrifiant n'offrant qu'une mort certaine. Je battis l'air de mes mains, dans l'espoir de m'accrocher au moindre objet passant qui m'aurait sauvé la vie. Mais rien, je me suis senti tombé dans le vide, attiré par la mer et les roches sadiquement aiguisées, m'attendant un peu plus bas. Le dernier souvenir qui a bien voulu s'accrocher à ma mémoire : celui de la rupture de mes os se brisant sur les pierres pointues de la côte ainsi que la mer me recouvrant le visage, empêchant l'oxygène d'entrer, me brûlant la gorge et les yeux.
Puis ce fut noir, silencieux. C’était Fini.
Lorsque je me suis réveillé, j'étais toujours dans l'eau, mon corps me faisait atrocement souffrir. J'étais pourtant persuadé d'avoir quitté ce monde lorsque j'étais tombé mais lorsque je me tâtais je ne sentis aucune blessure, ni la texture poisseuse du sang qui normalement aurait du coulé abondamment. J'essayais de me relever malgré la douleur et ce que je vis alors me fendit l'âme en deux de tristesse. Accroupi sur le sol les mains remplies de sang Méggna pleurais a chaude larme, répétant telle un refrain « Je l’ai tué, je l’ai tué », je marchais vers elle, tendit la main malgré la douleur que m'avais causé la chute. Je lui touchais le bras étonnamment glacé, elle leva alors les yeux sur moi et ce que j’y rencontras me vida de toute mon énergie, Méggna ma propre sœur me regardais, terrorisée, effrayée par ma simple vue. J'essayais de parler, aucun son ne sortit, elle recula, j'avançais un pas après l'autre et elle hurla. Elle se roula en boule et pleura, hurlant comme si elle venait de voir le diable en personne. Ne comprenant pas ce qui ce passe je m'asseyais et attendit un je ne sais rien, mais les cris de ma grande sœur étaient un véritable supplice à mes oreilles. Une heure passa peut être deux, mêmes plus, en tout cas la nuit tombait à l'horizon et Méggna épuisée s'étais endormie, le sang avait cessé de coulé et une marre pourpre avait incrusté les grains de sable. Puisant dans mes dernières force, je l'attrapais par le bras, la passa sur mon épaule avec un craquement terrible de celle-ci, et la porta jusqu'au Manoir de ma tante. Là, épuisé, je m'écroula devant la grande porte d'entrée en bois sculptée, j'entendis des cris puis des pas précipités, je sentis qu'on me soulevait, puis le monde des songes m'emporta...
Je fus tiré de mon sommeil par une douce odeur de pain chaud et je sentis sur mon corps bandé la douceur des draps, j'ouvrais les yeux. J'étais alité dans ma chambre, bandé de la tête aux pieds telle une momie, une servante de ma tante avait déposé un plateau déjeuner sur la commode et le miroir de ma chambre avait été recouvert d'un drap blanc. Pourquoi ? Je le su une demie heure plus tard... Pris d'une faim de loup j'attrapais le plateau et mangea tout son contenu, même si chaque bouchées me brûlait la gorge. Puis intrigué par le miroir je sortis du lit, mon verre de jus d'orange à la main, et m'approchais du miroir recouvert. J'eu un moment d'hésitation, ma main étais agripper au tissus, prêt à le retirer, pourtant le doute m'envahit et j'hésitais, mais la curiosité avais été la plus forte et j'avais tiré, me révélant la cause de la frayeur de ma sœur. Mon verre tomba est se brisa, j'ai porté ma main a mon œil gauche qui ne m'appartenait plus, cette œil difforme qui m'apparaissait dans le miroir était monstrueux. Mon œil gauche était entouré d'une étoile violette à cinq branches, entouré d'un cercle parfaitement concentrique. Je me souviens parfaitement de ce que j'ai ressenti ce jour là, j'ai cru que mon cœur s’arrêtais de battre, je me suis sentis comme un monstre, une erreur de la nature malgré que ce pentacle n'avais rien de monstrueux en lui-même, avec ses trais parfaitement dessinés dans mon orbite entourant mon iris bleu et laissant apparaître au centre ma pupille que je trouvais très noir.
« Que c'est-il passé après ma chute ? ». Je ne sais pas si c'est par colère ou par pure frayeur mais je m'emparais de la glace et la fracassa contre le sol, faisant un bruit de tonnerre et des rayures dans le plancher en acajou. Les servantes sont arrivée en trombes et m’ont vu avec ma difformité, elles ont hurlés, portant leurs mains a leur bouche. Les larmes ont coulées, je me suis laissé tomber à genoux et je me souviens très bien de ce que j'ai voulu faire. Terroriser j'ai ramassé un morceau de verre à deux mains et je l’ai approché de mon œil avec l'intention folle de le crever, heureusement ma tante arriva à ce moment là, empêchant ma folie de se réaliser.
Trois jours passèrent après ce passage dur de ma vie. Ma tante m’a arrêté à temps, j'ai appris que ma sœur était à l'hôpital et j'essaye tant bien que mal à vivre avec cet œil étrange qui la plupart du temps est caché par une bande de tissus pour ne pas effrayer les servantes. J'étais dans le jardin ouest de la demeure lorsque j'entendis le téléphone sonné dans le hall. Ma tante étant repartit en voyage d'affaire aux Philippine, la gouvernante m'apporta sur un plateau d'argent le téléphone portable. Après un remerciement je décrocha :
_ Allô ? Une voix impérieuse me répondit à l'autre bout du fil.
_ Oui bonjour, monsieur Charles Deroix, inspecteur de police. Suis-je bien chez les Lindtt? Un peu impressionné d'être en conversation avec un inspecteur fédéral je répondis :
_ Oui tout à fait, que puis-je pour vous ? À tous les coups ma tante n'a pas payé l'amende qu'elle avait reçue avais-je pensé à ce moment là, rien ne m'avais préparé à ce qui allait suivre.
_ Nous voulons vous informer qu’en ce moment même la dénommée Méggna Lindtt est recherché par toutes les forces judiciaire pour avoir tué une infirmière, si elle essaye de vous contacter je vous prierais de bien vouloir nous en informer. Je lâchais le téléphone dans l'herbe, sans réfléchir j'attrapais ma moto dans le garage et parti à grande vitesse vers la ville, il fallait que je la retrouve avant la police. « Il doit avoir méprise, elle n'a pas fait ça ?? » Cette idée fixe m'avait hanté tout le long du chemin quand j'arrivais devant les portes de l'hôpital. Une banderole rouge avais été tiré devant les portes automatiques pour empêcher quiconque de rentrer ou de sortir. Les journalistes et photographes bombardait les forces de l'ordre qui essayait de repousser la foule tant bien que mal. L'ambulance avait été appelée et je vis alors les pompiers sortir de l'hôpital, portant un corps recouvert d'un drap sur un bran quart. La question revint me hanté « A-t-elle, vraiment, fais ça ? » Sachant que je ne la trouverais pas dans les environs, je pris la direction des docks, a tous les coups elle serait là, j'en avais l'intuition, presque la certitude. J'arrivais sur les quais de bois pourris, je mis pied à terre et chaîna ma moto sur un lampadaire près d'un ivrogne qui marmonnait dans sa barbe, une bouteille de vin à la main. Je passais à travers les étalages de poissons et les grands bateaux de pêche pour arriver sur la place touristique du port. De là, je regardais autour de moi si je ne la voyais pas. Les gens vaquait à leur occupation: les marchandes vendaient leurs produits, les touristes achetait ou photographiait, les mendiants essayait de récolter quelques Livres sterling, rien d'anormal, une journée banale à Londres. Soudain, j'entendis une bourgeoise parler à son mari
_ Très cher, si vous aviez vu sa tenue et sentis son odeur pestilentielle, vous auriez fait comme moi, descendre de ce ferry. Je refuse de devoir séjourner avec cette clocharde déguenillée. Je ne savais pas pourquoi, mais je su d'instinct qu'ils parlaient de Méggna, et je pris alors la direction des quais que la bourgeoise venait de montrer du doigt à son bourge de mari. « Comment elle ose parler de ma sœur » pensais-je en la regardant d'un œil noir, avant d’être engloutie dans la foule. Je marchais entre les touristes affairés, mal à l'aise car il s'agissait principalement de bourgeois qui me regardaient la tête haute exhibant leurs bijoux or de prix et leurs vêtements de haute couture, mais le pire, c'était ces regards curieux presque malsain qu'ils portaient sur mon œil bandé. J'arrivais enfin au niveau des bateaux de luxe et des grands paquebots. La foule que j'avais vue dans les ruelles précédentes était insignifiante comparer à cette cohue qui me faisait face, se poussant, s'insultant, exhibant leurs billets de bateau, la population se bâtait presque pour rentrer dans l'immense paquebot, le plus gros que je n'avais jamais vu, qui était amarré là depuis quelques semaines déjà. Je m'approchais, me faufilais entre les gens pour essayer de retrouvais ma sœur, mais avec tout ce monde impossible de discerner quoi que ce soit. Alors en désespoir de cause et sachant que cela me coûtait, j'arracha le bandeau de mon œil gauche. Les gens affairés hurlèrent de peur lorsqu'ils me virent et partir en courant dans tous les sens en criant au démon. Même si cela me faisait mal de voir ces regards, je savais que grâce à ça, j'avais une chance de retrouvais ma sœur. Je m'approchais de l'un des moussaillons et le questionna
_ Avez-vous vu une jeune fille mal habillée montée dans votre rafiot ?? L'homme ne pris même pas la peine de me répondre, il fit un signe de croix et s'enfuit en courant. Désespéré, je regardais l'horizon, et soudain dans un dernier clignement d'yeux, je la vis, ma sœur. Elle était sur le devant d'un bateau, bien habillé, caressant ses cheveux soyeux, elle avait l'air en conversation avec quelqu'un, surement une personne que je ne pouvais pas voir. Comprenant soudain qu’elle essayait de s'enfuir, je compris avec désespoir qu'elle était coupable du meurtre dont on l'accusait. Cependant il était hors de question que je la laisse s’en tirer, je devais avoir une conversation avec elle. Remettant mon bandeau, je m'approchais d'une vielle dame qui ne m'avait pas vue avec mon œilet qui promenait son chien sans comprendre ce qui se passait.
_ Excuser moi madame, pouvez-vous m'aider ? La retraitée me regarda avec un sourire.
_ Oui bien sûr jeune homme. Que puis-je faire pour vous ?
_ Voilà, vous voyez le gros bateau qui s’en va au loin ? Je voulais savoir où il allait. La vielle femme réfléchit quelques minutes, fouillas dans son sac et en sortit un prospectus puis me le tendit.
_ Toutes vos réponses sont là-dedans, désolé, mais je ne peux rien faire d'autre. La remerciant, je pris le bout de papier imprimer et regarda. Il y avait toutes les croisières possibles avec les horaires et les jours. Il était 16h et on était le 18 septembre, je regardais donc et vis que le bateau que prenait ma sœur partait pour le Japon. « Quoi, ma sœur part pour le Japon !!? » J'étais sidéré, elle partait, fuyait la justice sans même dire au revoir, sans même laisser un petit mot. Ça ne se passerait pas comme ça. Sans réfléchir je regardas le prochain bateau en partance pour le Japon, par chance il s'agissait du gros paquebot, et étant donné que je venais de faire fuir tout le monde pour quelques minutes je pus y monter sans que personne ne me vois. J'allais me cacher dans les calles et attendis le départ, qui s'effectua deux heures plus tard, avec la seule idée qui me hantait : trouver ma sœur et avoir une discutions avec elle. Je restas cinq jours entier dans cale pour deux raisons, la première pour ne pas me faire repérer par les membres de l'équipage, la seconde et surtout celle qui m'embêtais le plus : la naissance d'une peur phobique de l'eau. En effet lorsque j’étais monté sur le paquebot de luxe et que j'avais regardé les remous des vagues en contrebas, je m’étais souvenue du jour de l'accident, de la sensation de suffocation que j'ai eu lorsque la mer m'as recouvert et j'ai eu peur, peur de tomber, peur de me noyer, et surtout peur de mourir. Cependant après cinq jour enfermé dans le noir la faim me tiraillait l'estomac et malgré ma répulsion envers l'eau je dû sortir de mon abri pour aller chiper quelques choses de comestible dans les cuisines. Avec milles précautions j'évita tout les passagers et arriva aux cuisines, avec agilité j'attrapa une pomme et un morceau de pain puis repartit vers ma cachette de fortune. Au moment de rentrer dans mon logis de substitution j'eu soudain une émotion bizarre. Je sentis quelque chose m'appeler, me tirer. Regardant dans le hublot crasseux de ma demeure je ne vit que le bleu turquoise de la mer qui s'étendais à l'infini. Je ne sais comment le d'écrire mais je sentais que l'horizon m'appelais et soudain j’eu une deuxième raison d'avoir pris ce bateau. La première était de retrouver ma sœur, alors que la seconde, plus flou, trouvais l'origine de ce besoin naissant de foncer tout droit vers cette chose invisible qui me tirais en avant. Cette croisière ne serait vraiment pas de tout repos.
Relations : Frère de Meggna
Pouvoirs : Contrôle l’eau
Facultés raciales :
- Manipulation de l'Eau : Contrôle l'eau quand il y en a à proximité, peut faire déferler une vaque gigantesque, contrôler son flux (l'accélérer ou la ralentir) et en faire des armes variable et pointu (mortel)
- Furie élémentaire : Le Mage, affecté par une émotion intense, libère une énorme quantité de magie.
- Sceau du mage : Le Mage peut faire léviter tout ce qui est marqué par son sceau, comme une sorte de télékinésie. Sur un être vivant, il faut deux sceaux pour qu’ils fassent effet.
Équipements & Armes : Facultatif mais vivement recommandé. Est-ce que votre personnage possède un équipement spécial, des armes ou des objets dont il ne ce séparerais en aucun cas ? | Points de Niveau :
Vitalité : 2
Agilité : 1
Force Physique : 2
Force Magique : 5
Résistance Physique : 2
Résistance Magique : 4 |
Autres : Passion pour l’écriture et la botanique
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Dim 22 Sep - 8:05
